Fiscalité : gare aux subtilités de l'impôt sur les plus-values mobilières
12 février 2018
Les chefs d'entreprise n'ont pas toujours intérêt à opter pour l'abattement renforcé.
Le diable se niche dans les détails. En l'occurrence, il se dissimule dans les replis de la déductibilité de la CSG. Ainsi, les chefs d'entreprise ayant investi dans des sociétés de moins de 10 ans peuvent, pour l'imposition de leurs plus-values, opter pour le barème de l'impôt sur le revenu avec le bénéfice d'abattements pour durées de détention s'ils ont acquis leurs titres avant le 1er janvier 2018 au lieu du prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 12,8 %.
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